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Oleg schrieb am 15.10. 2014 um 16:46:51 Uhr über

Gardinenpredigt

L’Afrique ne peut rester sans voix face à des affirmations sur les origines de certaines épidémies qui déciment les populations africaines. Aussi, nous estimons qu’on ne peut agir efficacement contre les effets dramatiques et même effroyables du VIH-SIDA et de lEBOLA en Afrique sans chercher à en connaître les causes premières scientifiques, et qu’il est urgent que les plus hauts responsables politiques du continent africain et de lOrganisation des Nations Unies (ONU) réagissent pour honorer leurs mandats et leur devoir de défendre les intérêts supérieurs des peuples africains et du monde entier, en particulier de leur sécurité sanitaire.
Nous souhaitons faire prendre conscience aux Africains d’abord, et au monde que les chefs dEtat africains se doivent d’être plus proactifs en soutenant financièrement et politiquement la démarche consistant à avoir leur propre opinion sur l’origine de lEbola. Cest à cet effet que depuis le 13 août dernier nous avons, avec des amis Africains comme non-Africains, lancé une campagne de signature d’une « Pétition à lUnion Africaine pour une commission d’enquête internationale du Conseil de Sécurité de l’ONU et de lUnion Africaine sur l’origine du Sida et de lEbola ». Au nom de la science et de la vérité, des scientifiques, intellectuels, acteurs politiques ou de la société civile, demandent instamment aux plus hauts responsables de lUnion Africaine, notamment à la Commission de lUnion Africaine, de saisir en urgence le Conseil de Sécurité de l’ONU pour obtenir l’établissement en urgence d’une « Commission Internationale d’Enquête sur l’origine et la diffusion du SIDA et de lEBOLA », sous l’égide du Conseil de Sécurité de l’ONU et de lUnion Africaine.
Face à l’avancée rapide de l’épidémie de lEbola et le pouvoir foudroyant du virus, lOMS a décrété « une urgence de santé publique de portée mondiale » et a déclaré qu’« une réponse internationale coordonnée est essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale du virus », sans toutefois soulever la question scientifique de l’origine réelle du virus et des manipulations à l’origine de sa diffusion pour le combattre efficacement. Nous ne sommes donc pas satisfaits de cet état de fait. S’il devait s’avérer que l’enquête débouche sur des responsabilités avérées, un Tribunal international devrait être créé à cet effet car il s’agirait alors d’une intention de nuire avec le virus Ebola, considéré alors comme une arme de destruction massive et sélective.
Nous pensons qu’il existe une irrecevabilité scientifique des thèses sur la transmission en Afrique, des virus du Sida et de lEbola à lhomme en provenance de certains animaux qui en seraient des porteurs sains. L’Afrique est le berceau de l’humanité et les hommes et les animaux y cohabitent depuis des millions d’années, donc bien avant l’apparition des maladies du Sida et de lEbola dès les années 1958. Ce constat permet d’orienter indiscutablement les recherches sur l’apparition de ces maladies vers des causes humaines, plus précisément vers la mise au point et les manipulations « darmes biologiques de destruction massive » dont l’Afrique subsaharienne se trouve être la cible principale et la première victime sans comparaison avec d’autres régions du monde. Cela est attesté par le programme COAST développé par le régime sud-africain de l’Apartheid entre 1980 et 1994, consistant en la mise au point et les manipulations « darmes biologiques de destruction massive », dirigées sélectivement contre les populations noires d’Afrique, et incarné par Dr Wouster Basson surnommé le « Docteur la Mort », comme le rapporte le journaliste français Tristan Mendès France, petit-fils de l’ancien Président du Conseil des ministres français sous le Président français René Coty, et administrateur de lInstitut Pierre Mendès France, dans son livre « Dr la Mort. Enquête sur le bioterrorisme dEtat en Afrique du Sud », publié en 2002 et précisant : « Anthrax, Ebola, Sida, Choléra, stérilisation de masse, poisons chimiques ethniquement sélectifs, figurent parmi les armes envisagées par les autorités de l’Apartheid contre la population noire. Un projet de guerre biochimique à caractère raciste largement soutenu par les puissances occidentales. Mis sur pied en 1985, le programme militaire na apparemment pris fin qu’en 1994, sans que toutes les responsabilités soient clairement établies. A ce jour nul ne sait où a disparu cette technologie de mort ni entre quelles mains elle se trouve. Encore moins sait-on qui pourrait en faire usage ». Par ailleurs, des accusations graves confirmant la collaboration scientifique internationale dont a bénéficié le programme COAST du régime de l’Apartheid ont été mises en évidence déjà en 2001 par l’américain Dr Boyd E. Graves dans son livre « State Origin : The Evidence of the Laboratory Birth of AIDS » (« Origine Etatique : la preuve de la naissance en laboratoire du SIDA »), publié en 2001. Il faut savoir que sous le couvert de recherche sur le Cancer, le programme « Special Virus » lancé le 12 février 1962 par l’Administration américaine et ayant bénéficié de la collaboration de biologistes de renom comme le Professeur Robert Gallo, le co-découvreur officiel américain du virus présumé du SIDA, a contribué à la création, à la production et à l’inoculation en masse dun « vecteur » du SIDA en vue de la destruction sélective et massive de populations noires en Afrique et aux Etats-Unis.
Des liens troublants, dévoilés en 1996 par le chercheur américain Leonard Horowitz, dans son très documenté livre « Emerging Viruses: Aids & EbolaNature, Accident or Intentional? » (traduit en français sous le titre « La guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, Accidentel ou intentionnel ? »), existent entre d’une part, ce qu’on a dénommé l’OTRAGland, territoire de 100 000 km² vidé de sa population et attribué en 1976 par le Président zaïrois Mobutu à une mystérieuse société allemande, OTRAG, supposée lancer des satellites dans l’atmosphère, alors que la NASA n’opère que sur 331 km², et d’autre part les industries et institutions travaillant dans le domaine de la mise au point des armes bactériologiques au sein de l’OTAN.

Ce chercheur a ainsi démontré que le SIDA et lEbola ne sont apparus de manière spontanée, ni n’ont franchi la barrière d’espèce entre le singe et lhomme de manière naturelle 9. Le virus de lEbola est apparu la même année sous le nom de « virus de Marburg », du nom d’une ville d’Allemagne où il a causé en août 1967 plusieurs morts parmi des laborantins qui le manipulaient sur des singes, avant de se manifester en septembre 1967 dans lex-Zaïre sous le nom «Ebola», en fait le nom d’une rivière proche de la localité de Yambuku.

Là aussi on peut se poser des questions de savoir comment, à un mois dintervalle, un même virus nouveau et exterminateur apparaît dans deux environnements diamétralement opposés, mais chronologiquement d’abord en Allemagne, puis au Zaïre (l’actuel République démocratique du Congo). Comment des singes arrivent-ils à infecter presqu’au même moment des humains, sans qu’aucune enquête ne soit diligentée pour faire la lumière sur cette étrange simultanéité.

Rappelons que dans un reportage diffusé en janvier 1996 par la chaîne franco-allemande Arte, « Virus mortels dans la brume. A la recherche dEbola » (un biologiste allemand, le Dr Manuel Kiper, affirme qu’il est tout à fait probable qu’un virus tueur sorte dun laboratoire du Nord pour aller faire des ravages au Sud, transporté sous congélation ou tout simplement inoculé à des singes préalablement infectés en laboratoire et lâchés ensuite dans la nature, dans une jungle africaine…
D’une manière générale, on peut se demander pourquoi les virus tueurs mystérieux n’ont jusqu’à présent pour seuls terrains d’activité que l’Afrique et les laboratoires liés aux armées du Nord 10.
On peut citer les villes occidentales où se fabriquent dans le plus grand secret les armes bactériologiques de destruction massive comme Porton Down, dans l’ouest de l’Angleterre, Fort Detrick dans le Maryland aux Etats-Unis, Serge Posad 6, en Russie, et Marburg-sur-Lahn en Allemagne, dans la région (Land) Hesse.
Il y a une urgence morale de lever le doute sur toutes ces graves accusations de mise au point et d’usage « darmes biologiques de destruction massive » et sélectives sur un critère racial, de mettre fin le plus tôt possible à l’impunité intolérable dun véritable « crime contre l’humanité », et surtout de protéger les populations visées contre la mise au point et l’usage de ces armes dont le pouvoir pourrait être plus foudroyant que celui de lEbola.
Il y a une nécessité politique et stratégique de mettre fin le plus tôt possible au manque de réactions des autorités politiques africaines en vue d’agir efficacement et énergiquement en amont sur les causes premières des épidémies du SIDA et de lEBOLA en Afrique.

La sagesse proverbiale africaine rappelle que « toute personne est traitée en fonction de son comportement supposé et de ses réactions supposées qui se lisent sur sa mine ». Cela une des lois fondamentales de la dynamique connue sous le nom de « troisième loi de Newton » ou le « principe des actions réciproques », affirmant que « toute action suscite une réaction d’égale intensité, de même direction et de sens opposé ». Autrement dit, sans réaction des dirigeants africains et des Africains eux-mêmes, ces pratiques pourraient continuer encore longtemps, dans l’indifférence générale.
Ceux qui refusent de rechercher dans la transparence et la sérénité les causes premières scientifiques de ces maladies apparues mystérieusement et subitement en 1958 et 1967 respectivement au cœur de l’Afrique, notamment avec une « commission d’enquête internationale avec des scientifiques africains » indépendants et au-dessus de tout soupçon sont principalement des complices qui s’ignorent. Ceux qui cherchent à cacher la vérité sont aussi ceux qui ont peur de cette vérité. Ils cherchent peut-être à se réfugier dans l’obscurantisme, par peur de la lumière de la vérité et de la science. Platon rappelait d’ailleurs que « l’opinion vraie, étayée par le raisonnement, cest cela la science, tandis que l’opinion dépourvue de raisonnement est en dehors de toute science ». L’Afrique et les Africains ne doivent pas avoir peur de la vérité. La science peut les y aider, encore faut-il que les Africains scientifiques aient leur mot à dire.
Oui, vous avez raison. Dans l’immédiat, cela serait très utile, en plus de la Pétition. Mais les dirigeants africains ne se rapprochent pas de la Diaspora africaine pour ces sujets. Ils semblent préoccupés surtout par les transferts d’argent… Pourtant, sils se rapprochaient de la Diaspora, celle-ci peut aussi leur faciliter l’acquisition de certains matériels de protection et de décontamination contre les virus très utiles en ce moment… Alors qu’ils se rapprochent de la Diaspora
Espérons que les dirigeants africains prendront conscience de l’importance de mettre à disposition du financement et des expertises africaines y compris avec la Diaspora pour apporter un peu de transparence dans ce dossier sensible. Mais les épidémies africaines mystérieuses ne peuvent continuer à se diffuser sans que les Africains eux-mêmes ne s’interrogent sur l’origine de ces épidémies.

Et si la théorie occidentale de « l’Afrique sans les Africains » devenait possible dans le cerveau de certains décideurs du monde, sachant que l’idée de « l’Amérique sans les Américains Autochtones » depuis « la découverte officielle de l’Amérique » en 1492 est déjà passée du statut de « théorie farfelue » à celui d’une « réalité effroyable ». En l’espèce, il ne s’agit pas de mécanismes naturels, mais bien de « la férocité blanche », si vigoureusement dénoncée par Madame Plumelle-Uribe dans son livre3 « La férocité blanche. Des non-blancs aux non-aryens. Génocides occultés de 1492 à nos jours ».

Aucun facteur n’explique la quasi-exclusivité dont est gratifiée l’Afrique subsaharienne quant à l’occurrence des épidémies mystérieuses sur son sol. Ni la misère, ni la mal-gouvernance, ni l’insalubrité, ni la déliquescence du système médical ne lui sont exclusives dans le monde. Et même si les Africains seraient les seuls êtres à manger du singe et des chauves-souris, pourquoi ces animaux ne muteraient que dans la seule Afrique pour produire des virus aussi tueurs ? Cependant, un facteur est sans doute exclusif à l’Afrique subsaharienne, outre le racisme qui a souvent été aussi scientifique : la démission des responsables politiques de leurs responsabilités en matière de veille sanitaire (confiée totalement à lOMS) ou de vigilance sanitaire. Les dirigeants africains devraient se ressaisir sils ne veulent pas disparaître avec leurs populations.
Pour conclure, rappelons aux Africains et à tous les Amis de l’Afrique de par le monde de ne pas oublier daller signer la pétition pour lancer une enquête sur l’origine de ces virus en Afrique 12 sur les sites suivants :
www.petitions24.net/petition_a_lunion_africaine_sur_le_sida_et_lebola_en_afrique
www.afrocentricity.info/evenements/annonces/petition-lunion-africaine-sida-lebola-en-afrique/2650




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