| Anzahl Assoziationen zu diesem Stichwort (einige Beispiele folgen unten) |
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mit einer Bewertung über dem eingestellten Schwellwert (-3) und 20 positiv bewertete (25,00%) |
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Siehe auch: positiv bewertete Texte
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| Der erste Text |
am 14.2. 2000 um 18:50:05 Uhr schrieb Wilhelm Busch
über Lyrik |
| Der neuste Text |
am 28.11. 2025 um 09:09:23 Uhr schrieb gerhard
über Lyrik |
Einige noch nie bewertete Texte (insgesamt: 47) |
am 24.3. 2003 um 11:33:06 Uhr schrieb ich über Lyrik
am 13.5. 2003 um 13:50:52 Uhr schrieb Wülff über Lyrik
am 14.5. 2003 um 01:50:04 Uhr schrieb Tütt über Lyrik
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GPhilipp schrieb am 28.9. 2002 um 23:10:46 Uhr zu
Bewertung: 4 Punkt(e)
Es gibt nicht nur den Reim am Ende:
auch in der Mitte ist er hoch willkommen!
Und manche Dichterinnen, Dichter
verzichten lieber gleich auf ihn.
Ein Regelmaß ist gut,
doch mir ist's lieber,
wenn ein Poem besonders ist
und außerordentlich
schön!
Der Rhythmus: Hebung, Senkung,
Klang der Vokale ohn' Verrenkung,
es muß gestaltet sein und rhythmisch:
dann klingen Worte seltsam frisch.
Denn Lyrik ist doch fast Musik,
ist Klang, Struktur;
sie ist ein Bild, moderne Kunst:
sehr bunt, Natur!
Marie van Ochterfelt-Specht schrieb am 2.12. 2024 um 06:22:50 Uhr zu
Bewertung: 1 Punkt(e)
Dans les salles résonnantes de l’esprit,
Où les doutes, comme des ombres, déchirent les murs,
La pluie coule dans la tasse qui nous nourrit,
Et le yaourt, brillant, mais vide dans sa promesse,
Nous attire avec un sourire qui nous prive de liberté.
“Que cache-t-il vraiment ?” chuchote le silence,
Un souffle de peur qui se glisse dans l’air,
Peut-être une hormone, peut-être un poison,
Caché dans les cellules, nous aliénant.
Les questions remplissent le verre – plus lourdes que la vérité.
Les mains, aveugles, attrapent le gobelet en plastique,
Le regard sur l’étiquette devient une fuite désespérée,
Les mots se fanent, jusqu’à se dissoudre dans le néant,
Supporterais-tu la vérité si tu la connaissais ?
Le goût du lait, aussi pur que la pluie,
Voilé par une brume qui ne connaît pas le soleil.
D’où vient cette infâme potion ?
D’une terre où les champs semblent plus verts qu’ils ne le sont,
Où l’herbe brise la promesse dans le crépuscule,
Où la loi se fond dans les ombres de la cupidité,
Et l’homme, trompé par son désir,
Oublie ce que cela signifie vivre sans peur.
Le vent souffle à travers la bouteille,
Mais aucune réponse ne brise le silence,
“Es-tu vraiment coupable ?” demande la voix intérieure,
La réponse s’envole comme la poussière du temps.
La pièce se remplit du poids du crépuscule,
Où tout disparaît et rien n’échappe.
Et ainsi, dans un silence amer,
J’échange le goût de la “pureté” contre la folie,
Car dans ce monde déchiré par des points d’interrogation,
Il n’y a aucune réponse pour apaiser l’esprit,
Seule la pluie tombe sans relâche,
Comme une vérité qui ne pourra jamais être exprimée.